« Selon ce que vous dites, les versets 25 et 26 ont été occultés et on en a rajouté au texte. On tombe dans l’imaginaire. On invente une motivation que le texte ne dit pas. On triche avec le témoignage de Pierre dont Marc est le secrétaire. On me l’a fait avec certain de mes propos et j’ai perdu confiance en ceux qui m’ont interviewée, je remets maintenant en question la crédibilité des journaux télévisés et autres. Ce n’est pas respecter l’auteur. Quel voyageur irait là où il n’y a pas de sentier pour traverser un champ? Jésus plus ses apôtres, plus ses disciples, plus des pharisiens abîmant mon champ de blé quelle injustice ! vous voyez Jésus là-dedans?
Ou vous avez loupé quelque chose ou le diacre n’a aucune formation pour ce qui est des homélies. C’est du n’importe quoi et de la triche.
»

Anita - 16 janvier 2024 - 20:38

« Je pense que dans le cas qui nous occupe, il y a une énorme différence entre moissonner un champ et glaner quelques grains pour apaiser sa faim. Nous avons besoin d’au moins un jour de repos par semaine, au moins, pour louer le Seigneur et passer du temps en famille. La loi est bonne, mais quand la tête nous tourne, il est préférable de boire et de manger un peu ne serait-ce qu’en cueillant une pomme ou en écrasant quelques grains. Il y a un temps pour tout sous le soleil et Dieu nous offre des fruits et des grains, sachons apprécier ses dons avec reconnaissance et mesure. En faisant référence à David et ses compagnons, Jésus cite un précédent. Dieu a institué le jour du repos dès le septième jour du récit de la création, il est le maître du sabbat. Jésus a égale puissance et fait tout comme son Père, il se réclame de son droit de « Fils de l’homme » d’être le maître du sabbat. Il n’abolit pas la Loi, il en donne le sens, l’esprit. Un jour il dira à ses opposants : Ne détacheras-tu « pas ton âne ou ton bœuf le jour du sabbat pour le mener boire? » Lc 13, 15 Ces pharisiens se mettent à l’œuvre pour leurs animaux mais reprochent à Jésus de faire de même pour ses disciples : cela n’a pas de sens. En 2 Co 3, 6 saint Paul écrit : «  La lettre tue mais l’Esprit vivifie. »

D’après saint Paul, le « souffle libérateur » fait référence à l’Esprit Saint qui nous aide à nous servir de notre gros bon sens. Je vous avoue que je me suis posé la même question sur le sens de ces deux mots. »

Anita - 16 janvier 2024 - 10:43

« Chère Geneviève,
Est-ce un souhait ou un fait ?
Moi, j’ai le marasme à tous les matins. J’ai le goût de rien. Horrible ! Étrange, je lis la Parole, la méditation, je réfléchis… j’écris mes commentaires et je retrouve « mon erre d’aller », je retrouve mon énergie. Ça doit être vrai que sa Parole revigore notre esprit, apaise et nourrit notre âme.
Je prie l’Esprit de nous donner force et courage devant tout moment difficile à traverser.
Union dans la prière,
Anita
»

Anita - 16 janvier 2024 - 11:03

« Merci, chère Anita de prendre soin de moi, vous qui êtes incollable sur la Bible !
Je pense et je crois que la Parole de Dieu est une parole qui fait Vivre. Heureusement que j'ai la Parole de Dieu et que je l'aime.
Chacun a sa croix, mais si vous saviez la montagne de soucis que j'ai avec ma fille handicapée. Ce, dans tous les domaines. A 85 ans, je dois encore tout gérer. J'ai des soutiens autour de moi, heureusement. Voilà plus de 40 ans, que la Parole de Dieu m'aide à faire face après avoir senti une poutre sur mes épaules. Une poutre si lourde qu'elle me faisait ployer. J'y ai vu là un signe. Merci Seigneur.
Ce site "Prier dans la ville" fait ma joie. Merci à toutes et à tous. »

Geneviève - 16 janvier 2024 - 14:52

« Chère Geneviève,
Incollable? Dieu me garde de monter sur un tel piédestal. Dieu seul l’est. Je suis à chaque fois étonnée du résultat final de mes commentaires. Chacun est une aventure ou l’imprévu surgit à chaque détour du chemin. Cela depuis qu’à l’école Saint-André, l’on m’a initié à la lectio divina.
Comment cela se passe-t-il ?
1e étape : demande de pardon et invocation à l’Esprit Saint.
2e étape : écouter attentivement au moins trois fois la lecture du texte biblique, voir, entendre et lire à voix haute.
3e étape : Me poser la question : « Que dit le texte en soi ? » À chaque fois, un mot ou expression qui ne m’avait jamais frappé me saisit. ou un texte en parallèle me revient à la mémoire ; la reformulation est importante sinon, on ne fait que ressasser ce que l’on sait déjà du texte.
3e étape : « Que me dit le texte au jour d’aujourd’hui ? » Puis j’écoute la méditation qui nous est proposée. À tout coup, elle me fait voir un ou des aspects imprévus, comme cela s’est produit aujourd’hui avec le rapprochement qu’a fait frère Valois avec les tentations de Jésus au désert. Nous sommes uniques au monde et créés à l’image de Dieu qui lui est infini, nous sommes donc comme un miroir reflétant ce que nous dit à chacun la Parole.
Si une question de sens, un doute surgit je fais une recherche par ex. en écrivant un mot clé dans Google ainsi, le mot outre= potier je l’écris suivi de « versets bibliques » plusieurs versets apparaissent. L’un d’eux donne le sens du texte. »

Anita - 16 janvier 2024 - 19:37

« Je vous garde dans ma prière ainsi que tous ceux qui participent à ce site. J’en apprends à tous les jours. Merci à tous,
Anita »

Anita - 16 janvier 2024 - 19:52