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À vous la parole (5 commentaires)

« - « Depuis les lointains, le Seigneur m’est apparu : « Je t’aime d’un amour éternel, aussi je te garde ma fidélité. De nouveau, je te bâtirai et tu seras rebâtie, vierge d’Israël, tu reprendras tes tambourins de fête pour te mêler aux danses joyeuses. » Jr 31, 3-4
- Loué sois-tu, Seigneur !
- « J’en ai la certitude : ni la mort ni la vie, ni les anges ni les Principautés célestes, ni le présent ni l’avenir, ni les Puissances, ni les hauteurs ni les abîmes, ni aucune autre créature, rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur. » Rm 8, 38-39

- Seigneur Esprit, toi à qui Jésus nous as confiés, apprends-nous à aimer, à aimer comme toi ! Souffle en nous brise ou vent violent d’amour et de paix, de joie et de pardon, d’espérance, de foi et de courage, de force… rends-nous accueillants et dociles comme le furent notre très sainte Mère, la très sainte Vierge Marie et ton Fils tout aimant. Donne-nous d’être justes et serviables…apprends-nous à aimer comme toi ! Amen ! »

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Anita - 10 janvier 2024 - 16:36

« C’est si bon d’écouter ces messages …qui nous rapprochent de Dieu .
C’est la paix dans le cœur . »

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Pierre khouzam - 10 janvier 2024 - 15:39

« « Savons-nous à quel point nous sommes aimés ? »
Sans doute que non.
« Avons-nous oublié que nous avons été désirés avant la fondation du monde ? »
Non, mais ça rend/a rendu cette vie qui coule en moi «immortelle », «indestructible», impossible à « rayer de la carte », même si je décide/décidais un jour d’y mettre un terme…
« Comment avons-nous savouré cet amour hier ? »
Hier, comme aujourd’hui, et comme demain, paisiblement mais avec amertume et « acceptation résignée » plus que joie et douceur, après une longue bataille douloureuse…
« Comment pouvons-nous mettre cette amour en premier aujourd’hui ? »
Quoi que je fasse ou dise, quoi qu’il se passe, cet amour est premier en permanence, que je le veuille ou non, que je le sache ou pas, que je le vois/entende ou pas, que je m’en préoccupe/y pense ou pas, que je le sente/ressente ou pas. C’est quelque chose qui ne m’appartient pas bien que cela me soit donné depuis tous temps et en tout temps.
« Mystère qui me dépasse, hauteur que je ne puis atteindre… »
Voilà pour ce qui me concerne, comme je suis, comme je crois, là où je suis, là où j’en suis, dans ma vie, ma pensée « humaine », ma réflexion, ma méditation, ma foi, ma prière…
Il est l’heure de quoi? De qui? Pour quoi? Pour qui?
Il est l’heure maintenant pour moi de retourner au royaume des silencieux… »

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Isabelle - 10 janvier 2024 - 12:32

« Merci d'exprimer ce que beaucoup, je pense, ressentent face à l'amour infini de Dieu! »

binôme - 10 janvier 2024 - 18:26

« Merci infiniment, frère Raphaël, pour cette méditation qui nous parle de liberté et de joie.
Cela me rejoint très profondément et pour moi c'est applicable non seulement au temps de la prière, mais aussi à celui de la rencontre de l'autre. Chaque fois que je vais vers un autre (famille, voisin, ami ou inconnu) et que j'y reconnais le visage de Jésus, c'est aussi une source de joie. Ainsi, lorsque je vais à la rencontre de ceux qu'on appelle "pauvres", ce n'est ni par obligation ni par contrainte mais pour "la joie d'être aimée et d'être faite pour aimer" - ou bien, si cela arrive, je sais que j'ai besoin de retourner vers le Père ! »

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Marie-Béatrice - 10 janvier 2024 - 10:25

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