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Par X
À vous la parole (20 commentaires)
« Une vie de chien, une vie ardue. Mon attention s'est arrêté sur le titre de cet extrait, me plaignant récemment, les larmes aux yeux d'une vie de chienne ! Tout semble s'obtenir difficilement. Et l'expression connote quelque chose de méprisable, de négatif, une vie dure et difficile. Et Jésus est là qui dit " je suis le bon berger". Déjà le désert, symbole d'aridité et les y abandonner, c'est prendre des risques, l'avantage, c'est qu'ils sont nombreux. Que ne faut-il pas affronter pour retrouver une brebis, se rendre probablement en lieux empierrés, là ou il y a des ronces, se rendre au niveau de cours d'eau, Bref, pour symboliser toute la difficulté, à retrouver une brebis par amour. Personnifier l'évènement, l'élever à l'état humain prendre le risque de braver les dangers, pour s'assurer qu'une brebis retrouvée sera pilier de l'église par amour, soignant cette dernière qui s'est éloignée, lui donnant l'attention nécessaire pour rejoindre le troupeau. Jésus n'est il pas comblé et sa joie est complète. »
LONGCHAMPS DANIELLE - 28 juin 2025 - 0:31
« Je vous donnerai des pasteurs selon mon cœur 😳.
À nous de les aimer, car au travers de cela, il y a le Christ.
Prêtres, dans leurs humanités, chacun avec des nuances, en bonne santé, mauvaise santé,
Massacrer dans certains pays par amour de Dieu, d'autres sont sur des mauvaises voies,
Et les brebis selon leurs cœurs, font et d'autres pas, ce cœur à cœur.
Pardon ce rapprochement du bon pasteur.
On se projette dans la brebis égarée, mais jésus veut au contraire la rendre libre.
D'aimer,d'aller et venir, de faire, dire, et en plus elle a de l'herbe fraîche, j'en ai rencontrer des prêtres, et devant le sacré cœur de Jésus, parfois scandalisée, d'autres fois émerveillée, triste, gaie, ect
C'est la prière qui fait tout,
Toujours là pour les célébrations, enterrements, baptêmes, mariages etc, qui cherche qui ?
La brebis ! Le pasteur !
L'évangile se met à vivre avec
Eux, je prie pour le vieux, le jeune, bref, leurs fabrique une houlette, un bâton.
Et... Ils versent de l'huile sur nos têtes, beh heureusement pour celles et ceux qui sont en chemin.
Ne touchez pas à mes oints cite un passage.
Reconnaître son pasteur, c'est dire, Dieu est amour.
Et si on inversait !
L'histoire de cet évangile,
Allez savoir..
Seigneur donne nous des prêtres.
Bonne soirée à tous, et merci frère Benoît, et à ceux qui se consacrent pour le troupeau 🌹
»
Fred - 27 juin 2025 - 17:54
« Randal,Je peux comprendre votre révolte et votre agacement car la vie sur terre est dure et difficile,mais j'ai une autre lecture de cette parabole qui me renvoie à mon enfance. Mes parents avaient 8 enfants qu'ils aimaient tendrement. Un jour, quelqu'un leur a dit:"ce n'est pas grave si vous en perdez un, il vous restera les autres".Ma mère,horrifiée, a répondu,mes enfants sont tous uniques, irremplaçables,si j'en perdais un,je serai inconsolable "
Élevée dans la liberté,je ne supporte pas les enclos et embrigadements de toute sorte.Ilne s'agit pas de rester bêtement et docilement en sécurité dans le troupeau mais bien plutôt de rester dans l'amour et la confiance,seuls liens qui comptent et soutiennent dans les épreuves de la vie. C'est pour moi, le message de cette parabole.
Michèle »
Michèle - 27 juin 2025 - 16:00
« merci
Depuis un peu plus de huit jours notre petit fils 16 ans
est en compagnie de ses grands parents
( stage de fin de seconde dans un centre sportif auprès d’un kinésithérapeute)
Je ne me souviens plus de mes 16 ans , mais l’éducation à l’école des ursulines du jardin d’enfant à la terminale est là dans les observations et les attentions que nous nous accordons les uns aux autres !
Le lien quotidien au Rosaire vivant aussi
Votre voix juste maintenant dit la joie d’être reliés par un ☝️ amour infini
Amen !
Dieu est bon,
Vierge Marie garde notre petit fils dans les enseignements reçus au cours du stage positif vécu au près du kinésithérapeute, sainte Bernadette , priez pour nous
»
Domy - 27 juin 2025 - 11:22
« Merci frère Benoît ,
Merci pour cette belle image , qui nous traduit toute l'attention et la tendresse de Jésus 🙏 »
Annie - 27 juin 2025 - 9:44
« Je suis bienheureuse de vous entendre prononcer le mot de PALESTINE !
C'est un mot qu'ON n'ose plus prononcer dans nos églises, un mot qui plonge volontairement petit à petit dans l'oubli à cause de l'extermination radicale en cours du peuple Palestinien .
Prononcer ce mot de Palestine et parler vrai lors de nos assemblées chrétiennes risquent de mettre la zizanie parmi les personnes présentes à cause des sionistes infiltrés...
Vaut mieux se taire, raser les murs et faire preuve de manque de courage.
Free Palestine mes racines chrétiennes avec le peuple juif réconcilié. Pour l'instant, le peuple juif est divisé en deux parties, sa religion est bafouée, défigurée .
Prends pitié Seigneur Jésus et accorde la reconciliation à ton peuple de la Terre Sainte »
Anne Marie - 27 juin 2025 - 9:01
« La brebis a suivi son chemin solitaire,
attirée, sans doute, par le parfum de quelques clairières éloignées.
Elle en oublie les dangers qui la guetteront dès la tombée de la nuit.
Le berger, après avoir retrouvé la brebis, la ramène vers le troupeau,
où elle retrouvera avec les autres le chemin annuel de la transhumance.
Il m’a été dit que le berger, en prenant la brebis sur ses épaules,
lui permettait d’oublier le chemin de la solitude qu’elle avait expérimentée.
La brebis sait que cet homme qui la porte
la mènera tous les matins
vers les prés d’herbe fraîche et les eaux limpides.
Un signe :
Essayez de garder sur vous épaules un animal
s’il ne s’y sent pas à l’aise…
»
Paul (Belgique) - 27 juin 2025 - 8:54
« Petite correction :
"Essayez de garder sur vos épaules
un animal s’il ne s’y sent pas à l’aise…" »
Paul (Belgique) - 27 juin 2025 - 9:39
« Merci pour ce beau poème Paul.
Dommage que je ne puisse vous envoyer une vidéo de transhumance de 1800 brebis, prise par mon fils .
Il habite un petit village dans l'Hérault où est passée dernièrement une transhumance.
Impressionnant ! »
Geneviève - 27 juin 2025 - 15:58
«
Merci au Frère Benoit pour cette méditation et pour le message de Jésus.
Ils suscitent un témoingnage de vie qui n' est peut être que "ce qu il est..." mais qui a le mérite de la sincérité et qui ,avec des commentaires "sans langue de bois", changent de ceux habituels toujours lénifiants ... »
Khaly - 27 juin 2025 - 8:29
« Merci beaucoup Seigneur Jésus pour ton amour 💘 et ta protection que tu nous offres chaque jour que nôtre Seigneur Dieu 💘 fait. AMEN. 💖💖😘😘🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏💝💝💌💌 »
Maya - 27 juin 2025 - 8:24
« Merci frère Benoît,
"...Cœur de Jésus, brûlant d’amour, cœur doux et humble,
que nos cœurs soient semblables au tien, cœur doux et humble.
Fais-nous brûler de charité,
Que nous puissions toujours aimer. Cœur de Jésus, rempli d’amour et de bonté..."
En union de prières rassemblés autour de notre Bon Berger.
»
Marie N - 27 juin 2025 - 8:24
« Et la brebis retrouvée, elle, est-elle joyeuse? Heureuse? Plus ou mieux que quand elle était
"perdue"? D’ailleurs l’était-elle vraiment perdue? Parce qu’elle broutait seule loin d’un troupeau?
Elle a peut-être moins de chances de devenir la proie d’un loup, ou d’une bête sauvage, mais est-elle dans la joie, sur les épaules du berger, ou à tourner en rond avec le troupeau (dans une bergerie ou un pré) sous le regard du berger qui s’en est emparé et d’un chien prêt à mordiller ses pattes si elle fait un pas de travers?
Au fond cette brebis, ce n’est pas elle qui rejoint le troupeau. C’est quelqu'un qui la prive de tout pour l’y mettre de force. Même pas sûr que ce soit ce qu’elle voulait, espérait. Et elle n’éprouve peut-être aucune joie à cela. En plus ça pourrait déclencher de la jalousie chez les autres brebis le fait qu’elle soit portée sur les épaules du berger?
Si elle ne se rend pas compte des dangers desquels le berger veut la protéger, et qu’il fait tout cela pour son bien, les autres brebis se rendent-elles compte du poids de cette domination d’être prisonnière des mains de quelqu’un et ne plus pouvoir bouger en étant sur ses épaules? Et le berger, en est-il conscient? On est loin de l’image bucolique du petit agneau qui se laisse faire.
Une brebis n’est pas un bœuf qu’on atèle avec un joug pour labourer ou moissonner un champ, et encore moins le joug lui-même...
Alors la joie au ciel, elle reste au ciel. Sur terre, le paradis il a un nom, c’est l’enfer... »
Randal - 27 juin 2025 - 5:58
« Intéressant cette vision de cette brebis égarée.
Le berger l'a-til forcée à revenir ou était elle libre de rester en dehors ?
C'est peut-être là la richesse de notre relation à Dieu : Dieu nous invite mais ne nous force pas.
Mais c'est aussi le malheur du monde de voir des brebis égarée refuser la main tendue du berger, prétendre être du troupeau voire parler au nom du berger et vouloir mener le troupeau pour leur propre intérêt.
»
Didier - 27 juin 2025 - 7:58
« Bonjour,
oui, je me suis posé la même question : qu'en pense la brebis ?
J'ai pensé à la parabole du fils prodigue...
puis la fin du texte m'a sauté aux yeux :
"’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit"
La brebis n'est pas passive, elle se convertit.
Comment se fait cette conversion ?
A chacun de trouver.
Et comme dit Jésus : va et ne pêche plus.
Si Jésus pense que c'est possible... alors c'est possible.
Et après ?
"Le Seigneur est mon berger..."
se laisser conduire
et le Royaume de Dieu est est là... »
Jean-Fabien - 27 juin 2025 - 8:22
« J’ai été « brebis égarée » dans ma jeunesse, mais à 25 ans (j’en ai 60 …), notre BON berger est venu me chercher. Je voulais être libre, vivre sans entraves, je l’ai été, mais c’était un piège, une illusion. J’ai été la proie d’un pervers narcissique. Il ressemble comme deux gouttes d’eau au berger que vous nous décrivez. Mais Jésus n’est pas ainsi. À son école, j’ai appris l’amour AGAPÈ, et j’apprends encore. Je n’ai pas le sentiment d’être prisonnière, bien au contraire. « L’image » du berger me rassure, ne me fait pas peur, m’encourage et me donne de la force. Et puis les brebis ne tournent pas en rond dans la bergerie ou les prés. Elles ont besoin d’un lieu sécurisant et apaisé pour leur bien-être personnel et relationnel. Et après elles vont s’épanouir et jouir des bienfaits de la vie dans les montagnes ! Le parallèle est simpliste, j’en conviens, mais il me parle, et s’il pouvait vous donner une autre image de Jésus, qui souhaite notre bonheur, et le votre aussi, j’en serais ravie. »
Evelyne - 27 juin 2025 - 8:33
« Merci Evelyne pour votre beau témoignage »
Geneviève - 27 juin 2025 - 10:29
« Merci Evelyne.
Des pervers ou perverses (ça s’accorde aussi au feminin) narcissiques qui s’ignorent il y en a plus qu’on ne croit. Et même chacun peut avoir un petit côté...
Mais parfois on est surpris et on digère mal que d’autres mettent de tels mots sur nos manières d’accomplir nos "missions", alors que l’on essaye de faire de son mieux sans intention de blesser l’autre, bien au contraire, et qu’on est persuadé de suivre Dieu...
Car il y a différents degrés si bien que parfois ce sont à peine de "petites dérives" qui ne gênent personne, sauf un "hypersensible", à l’oreille absolue et au regard perçant? ou une brebis blessée qui marche déjà plus que sur 3 pattes et ne peut plus suivre le troupeau?
Alors qui est la brebis égarée ?
Dieu n’est pas un berger comme cela, certes, et je n’ai rien contre les bergers et leur troupeau, mais les brebis, elle finissent généralement à l’abattoir, quand elles ne donnent plus assez de lait ou des petits, et elles nourrissent aussi les bergers, voire elles servent de sacrifice à Dieu, au temps de Jésus comme aujourd'hui.
Bon vu que ma brebis n’a plus que 3 pattes, elle va bien se laisser porter par le berger, mais elle ne se fait plus d’illusions. Rien de nouveau sous le soleil.
Randal a sauté un jour le portail de l’enclos et a fini écrasé sur la route, en pleine force de l’âge.
Messieurs, dames, bonne journée !
»
Randal - 27 juin 2025 - 11:18
« Merci Evelyne pour votre témoignage qui n'est pas simpliste du tout, au contraire. Bonne journée, Kathy
»
KATHY - 27 juin 2025 - 11:18
« Bonjour,
Merci pour votre méditation frère Benoît.
La brebis égarée pourrait être chacun et chacune.
Celle qui s’est détachée peu à peu du troupeau pour finalement se perdre.
Jésus le bon berger est actif, il va chercher cette brebis égarée, bêlante.
Tous se réjouissent lorsque le bon berger revient à la bergerie, avec sur ses épaules, l’égarée retrouvé.
La joie.
Être sauvé est de la joie!
La méditation et la Parole me disent aussi la bienveillance de Dieu, sa miséricorde.
Merci pour cette méditation frère Benoît, elle est espérance et joie.
En union de prières.
»
Vincent H - 27 juin 2025 - 2:03